6 façons d’intégrer l’économie du partage à vos activités commerciales

L’économie du partage est au cœur de bien des discussions. Que ce soit à cause des moyens de pression des chauffeurs de taxi contre Uber, des hôteliers révoltés contre Airbnb, ou parce que cette forme de consommation dite collaborative laisse entrevoir de nouvelles manières de faire des affaires, c’est un sujet chaud qui fait jaser. Lire la suite

Débat éthique entourant la publicité comportementale en ligne

Le débat éthique concernant la collecte et l’utilisation des données personnelles des internautes fait jaser depuis quelques temps, surtout lorsque ces renseignements sont exploités à des fins de publicité comportementale en ligne. Les publicités que nous voyons en ligne sont particulièrement bien ciblées. Le mystère entourant la justesse des annonceurs peut être effrayant en nous donnant l’impression de perdre le contrôle de notre vie privée. Avez-vous l’impression d’être constamment suivi virtuellement ? Lire la suite

Commerce électronique au Québec : RDI Économie a fait le point

Hier soir, Gérald Fillion faisait le point sur le commerce électronique en direct de HEC Montréal dans une émission spéciale d’une heure diffusée sur ICI RDI. Le Tech3Lab, notre partenaire de recherche, et imarklab étaient de la partie pour dresser un portrait du commerce en ligne au Québec. L’émission a présenté avec justesse une province encore frileuse face au Web, mais qui a toutes les ressources nécessaires pour rattraper le virage numérique mondial dans les prochaines années. En voici les grandes lignes : Lire la suite

Aldo et les défis de l’omnicanal

La semaine dernière, suite à la conférence E-Commerce organisée par Les Affaires, je vous parlais du parcours client qui est au cœur du concept de stratégie omnicanale. Penchons-nous maintenant sur la dimension logistique d’une telle stratégie.

Je vous présenterai huit défis propres à la logistique omnicanale qui ont été énoncés par Marc Chrétien, Directeur des opérations – Commerce électronique, du Groupe Aldo. M. Chrétien a très bien dépeint les enjeux de l’implantation d’une telle stratégie dans sa présentation intitulée « Le Groupe Aldo en 2005 : « Personne n’achètera des chaussures en ligne ! » ». Bien qu’on se transporte ici dans l’univers de la chaussure, vous verrez que ces défis représentent bien les enjeux auxquels n’importe quelle entreprise de commerce de détail doit faire face en implantant une stratégie omnicanale. Lire la suite

Le Web : un canal toujours méprisé par les détaillants du luxe

Dans le cadre de DTL QC., j’ai récemment assisté à une conférence donnée par Joanne Nemeroff, Vice-présidente principale des marques Ogilvy et Holt Renfrew, portant sur la redéfinition de l’expérience client suite à l’association des deux marques. Je ne vous apprendrai rien en disant que la future boutique Holt-Ogilvy offrira une expérience client en boutique qui fait rêver, incluant des suites luxueuses à la disposition des meilleurs clients souhaitant transformer leur magasinage en quasi-événement mondain. Lire la suite

Démystifions la tendance omnicanale

Si vous vous intéressez au commerce électronique, vous avez sans doute entendu parler de stratégie omnicanale à plusieurs reprises. À la façon dont le chou kale et le quinoa se sont construits une solide réputation dans l’alimentation il y a de cela quelques années, la tendance omnicanale s’immisce partout ! C’est la vertu de l’heure du commerce électronique. Pourtant, cette tendance n’est pourtant pas encore comprise de tous, et le terme « omnicanal » est souvent utilisé à tort. Démystifions donc la composition exacte d’une stratégie de commerce électronique dite « omnicanale ». Lire la suite

La pub en ligne : aussi efficace dans les points de vente physiques que virtuels

L’efficacité de la publicité en ligne n’est plus mise en doute. Aux États-Unis seulement, les dépenses en pub en ligne se sont élevées à près de 50 milliards de dollars en 2014, soit une augmentation de 16% comparativement à l’année précédente. En fait, selon certaines études récentes, l’efficacité de la pub en ligne pourrait même être sous-estimée. Lire la suite

Pinterest transforme vos inspirations en transactions grâce au bouton Buy it

Au début de la semaine, nous avons publié ce billet de iProspect qui explique la place potentielle du commerce électronique sur des réseaux sociaux comme Facebook et Twitter. Penchons nous maintenant le cas spécifique de Pinterest, qui tente également de se positionner à ce niveau en transformant vos inspirations en transactions…

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Les réseaux sociaux, des plateformes e-commerce en devenir?

Bien que le monde de la vente au détail soit encore largement dominé par le commerce physique, le e-commerce prend de l’ampleur. Au Canada, selon eMarketer, les ventes en ligne représentent actuellement 5,9% du total des ventes au détail aujourd’hui et ce chiffre grimpera à 8,2% en 2018. Le Black Friday, qui possède maintenant son équivalent en ligne depuis l’apparition du Cyber Monday, en est la preuve.

Les réseaux sociaux Facebook et Twitter semblent vouloir profiter de cette croissance du e-commerce et vont bientôt proposer à leurs annonceurs d’inclure des boutons « Acheter » dans leurs publicités. Ces réseaux sociaux pourraient donc être des plateformes e-commerce en devenir.

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Source de l’image : Flickr / Licence Creative Commons

Convertir via les réseaux sociaux

À l’heure actuelle, les réseaux sociaux interviennent dans le parcours d’achat du consommateur, mais ne permettent pas l’achat en tant que tel. Les plateformes sociales assistent la conversion, mais l’interaction finale, c’est-à-dire le paiement, est réalisée sur des sites Web transactionnels ou simplement en magasin. Or, avec l’introduction des boutons « Acheter », Facebook et Twitter permettront bientôt au consommateur d’effectuer un achat sans sortir des réseaux sociaux. L’avantage pour les marques est clair : en simplifiant le parcours du consommateur, les boutons « Acheter » diminueront la probabilité d’interruption du processus d’achat. Le consommateur devra saisir ses informations de paiement une seule fois sur le réseau social et pourra ensuite acheter des articles via un simple clic. Les frictions dues à la page de paiement seront réduites au minimum, en même temps que les hésitations du consommateur.

Ces boutons « Acheter » risquent d’avoir un impact d’autant plus fort sur mobile. Selon une étude réalisée par comScore en 2014, les Canadiens passent en moyenne 2h19 par jour sur les réseaux sociaux, dont 65% sur mobile. Les boutons « Acheter » ont pour objectif d’inciter aux achats impulsifs et sont donc adaptés à une utilisation mobile.

Une implantation progressive

Même si Facebook a opéré des tests sur le bouton « Acheter » dès 2012, le réseau social avance timidement. En 2014, il a introduit d’autres boutons d’appels à l’action tels que « ­Shop Now », « Learn More », « Sign Up », « Book Now » et « Download », certainement pour préparer les consommateurs à l’avènement du bouton « Acheter ». Facebook semble vouloir éduquer les consommateurs et les marques avant de pousser l’expérience plus loin. Il faut dire que les premiers essais de Facebook sur le bouton « Acheter » ont été des échecs. À l’époque, les marques volontaires telles que Gap et Nordstrom n’ayant pas adapté leurs offres à ce canal de distribution spécifique se sont finalement rétractées sous prétexte que vendre via Facebook était redondant avec leurs chaînes de distribution existantes.

Pour que les réseaux sociaux ne soient pas une chaîne de distribution comme les autres, les marques gagneront à privilégier des offres limitées – en volume ou dans le temps – disponibles seulement sur les réseaux sociaux. On peut penser à une vente flash de billets de concerts ou à des soldes exceptionnels sur des items en fin cycle commercial.

Les défis pour les marques

Les marques souhaitant tirer partie des plateformes sociales pour augmenter leurs ventes en ligne devront faire face à trois principaux défis :

  1. La méfiance des consommateurs qui pourraient percevoir les plateformes sociales comme insuffisamment sécurisées pour y effectuer des achats.
  2. La confusion créée par ce nouveau rôle des plateformes sociales: le but premier des réseaux sociaux étant de construire des relations avec les consommateurs, les marques devront conserver une stratégie sociale cohérente et non confondre Facebook et Twitter avec des plateformes d’e-commerce pures.
  3. Les achats impulsifs que les consommateurs pourraient regretter et qui auraient un impact négatif sur la marque en plus de ne pas fidéliser le client.

La Chine, en avance en matière de e-commerce social

Weibo, l’équivalent chinois de Twitter, s’est lancé dans l’expérience du e-commerce social dès août 2014. Un mois après son lancement, la plateforme comptait déjà 1350 comptes d’entreprises actifs, les secteurs les plus performants étant le textile et l’alimentation. En Chine, les médias traditionnels comme la télévision ne bénéficient plus de la confiance de la population. Le bouche-à-oreille est le média le plus influent dans le processus d’achat. Mêler le e-commerce aux plateformes sociales semblait donc évident. En 2012, la marque de téléphones portables Xiaomi avait confirmé le potentiel de succès du e-commerce social lors d’un essai : 50 000 téléphones intelligents avaient été vendus en 5 minutes et 14 secondes. Reste à savoir si les marchés occidentaux sont aussi enclins à accueillir la fusion du social et du e-commerce.

Conclusion

Si les marques prennent conscience des défis liés à la vente via les réseaux sociaux, l’association du social au e-commerce pourrait être prometteuse. Facebook et Twitter disposent d’informations précieuses sur les goûts et les comportements de leurs utilisateurs qui permettraient aux marques de cibler leur clientèle avec précision.

 

À propos de l’auteur :

Après l’obtention d’un Master en Management et d’une spécialisation en marketing digital en France à l’EMLYON, Fanny Laveau a rejoint l’équipe SEO d’iProspect et travaille maintenant sur la stratégie de contenu d’Air Transat. Elle est passionnée par les arts et, plus particulièrement, le cinéma.

Savez-vous comment satisfaire les clients de votre magasin en ligne?

Je devrais plutôt dire : « Connaissez-vous bien les visiteurs de votre site Web? ». C’est la question qui se pose pour être en mesure d’offrir une expérience utilisateur de qualité qui saura satisfaire vos clients. Mais comment définir cette « qualité », et comment déterminer si vous aurez les résultats escomptés en termes de satisfaction ?

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Source de l’image: thedrum.com

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